Pourquoi la Théorie de Gaia explique peut-être aussi le cancer

Dans la même veine que ce que j’écris d’habitude, quand on comprend la théorie de Gaia de James Lovelock, tout s’explique. Spéciale dédicace à Jeff Bezos, au passage, dont l’algo Amazon m’a permis de découvrir ce monsieur qui avait tout compris avant tout le monde.

Si je considère les monothéismes comme des symptômes du melon et de la prétention de l’espèce humaine à se croire supérieure et à avoir le droit d’enfermer les autres au lieu de les écouter parler et d’essayer de comprendre, et la sélection des espèces leur conséquence, le cancer est simplement la solution que Gaia a trouvée pour y faire face.

Qu’est-ce qui provoque le cancer ? Les mauvaises graisses, c’est-à-dire les graisses artificielles, comme au rayon sucres le sirop du glucose est mauvais alors que le sucre de canne ne l’est pas.

Petit rappel, je considère que l’ADN calcule, et que le microbiote réfléchit, ce qui n’est pas pareil mais complémentaire. J’en déduis donc que le vin et le fromage, riches en micro organismes, favorisent la circulation de l’information, et que notre ADN est la façon pour Gaia de mettre en place la simulation statistique en cours de test.

On sait que chez les chats et les chiens, que nous avons apprivoisés, la sélection des races pour les rendre jolis à contempler, leur cause des risques de cancers et de mourir plus jeunes, tandis que les chats de gouttière et les chiens batards vivent plus vieux et en meilleure santé.

Il me semble tout simplement, que dans l’espèce humaine aussi, quand on a voulu trop sélectionner les couleurs et qu’on est même allés jusqu’à en faire des races, Gaia n’a pas trouvé d’autre solution pour nous arrêter tout de suite, que de nous tuer en route quand ça va trop loin. Et que la simulation en cours échoue comme les autres.

Il nous faut comprendre que nous sommes tous égaux en Gaïa, il n’y a ni espèce supérieure, ni race car cela n’existe pas.

Afin de vérifier cette hypothèse, il faudrait tester si l’ADN humain et canin contient l’information d’une probabilité de faire un cancer, ce pourquoi je n’ai pas les compétences, mais je n’hésiterai pas si je croise sur mon chemin un data set à analyser.

Et si les marqueurs de « race », comme on les appelle alors qu’elles n’existent pas, sont plus prononcés chez les individus / organes qui sont plus à risque de cancer.

Au boulot. Ils le méritent, et elle aussi.

Image par Erin Alder

Toi aussi on t’a mis en cage. T’inquiète, on leur fera mordre la poussière.

Cette entrée a été publiée dans Blog. Sauvegarder le permalien.

Laisser un commentaire